Tourisme responsable

Voyager nous ouvre sur le monde, sur la diversité des cultures, et la beauté de notre planète.

Préservation des espaces sauvages

Pour survivre, la faune sauvage a besoin de grands espaces intacts et protégés. Très concrètement, les safaris permettent de financer les parcs nationaux et réserves privées via le prix d’entrée des parcs et les frais de conservation. Sans ces revenus, les zones protégées auraient du mal à subsister dans de nombreuses régions : certains parcs sud-africains pourraient sans doute fonctionner grâce au tourisme local, les parcs de Namibie et du Botswana pourraient résister car ce sont des pays très peu peuplés, mais partout ailleurs la situation serait probablement critique pour les animaux, avec une forte pression pour convertir les espaces sauvages en cultures ou les exploiter autrement.

Développement économique et humain

La répartition des richesses générées par le tourisme est un autre problème délicat. De plus en plus de partenariats sont tissés entre les opérateurs de safari et les communautés locales : les communautés prêtent leurs terres et s’engagent à les garder intactes pour la faune sauvage. En échange, elles perçoivent un loyer. De plus, les lodges embauchent et forment des personnes, et peuvent aussi acheter des denrées alimentaires. Ce modèle bénéficie directement aux communautés locales. Il est développé surtout en Namibie et au Kenya.

Les safaris contribuent ainsi à la préservation des espaces et des animaux sauvages, et au développement humain local.

Compensation des émissions carbone

Comme tous les voyages lointains, les safaris sont cependant lourds en émissions carbone. 

Pour contrebalancer cet impact négatif, pour tous les voyages, la compensation carbone est incluse et la moitié est financée par Secrets du Monde Sauvage. Plus d’information sur la compensation des émissions carbone.